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INFO 497 MUSTAPHA 1/ ALGER PDF
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INFO 497 MUSTAPHA « Non au 19 mars » VOICI quelques articles de presse ou de donateurs retenus à votre attention : 1/ ALGER : Le quartier de MUSTAPHA devenu SIDI M’HAMED à l’indépendance La commune de MUSTAPHA était située dans les quartiers Sud d’ALGER A l'arrivée des Français en 1830, à quelques centaines de mètres de la ville d'ALGER se trouve un plateau appelé ZEBBOUDJ EL AGHA qui servait au regroupement des troupes ottomanes et plus bas une villa appartenant aux héritiers du Dey Mustapha Pacha II qui servait à recevoir les malades et les blessés, c'est à cet endroit qu'est bâti l’hôpital Mustapha Pacha en 1854. Présence française 1830 - 1962 MUSTAPHA : Ancienne commune - 4e arrondissement du Grand ALGER. C'est ainsi que ce précieux document confié à une famille atteste que ses arrières grand parents ont obtenu leur livret de famille à MUSTAPHA…en 1886 (Source : http://marenostrum.over-blog.net/article- 12679282.html ) MUSTAPHA est devenue commune indépendante en 1835 par ordonnance du Gouverneur, mais en 1848 MUSTAPHA, commune riche, fut rattaché à la commune d'ALGER. Avec la construction du quartier européen, la ville d'ALGER rejoint très vite le faubourg de MUSTAPHA, puis avec le développement rapide autour du plateau SAULIERE. Ses 5 200 habitants ne cessèrent alors de protester et de présenter des pétitions et des requêtes d'indépendance car ils prétendaient qu'il s'agissait d'une manoeuvre de la commune d'ALGER (très endettée à l'époque) pour récupérer des recettes fiscales faciles. Ils eurent gain de cause le 26 janvier 1871 date à laquelle il y eut la deuxième création d'une commune de MUSTAPHA qui redevint une commune à part entière indépendante d'ALGER. La nouvelle commune comprenait : le village d'ISLY, l'AGHA, le plateau SAULIERE, le quartier du PÂTE, le quartier JULIENNE et les futurs quartiers de BELCOURT et du HAMMA, jusqu'au RUISSEAU. La commune se développe et compte bientôt un hôpital, des abattoirs, une usine à gaz, plusieurs fabriques industrielles ainsi que l'École supérieur d'ALGER. C'est ainsi que la commune est à nouveau rattachée en 1904 pour devenir l'un des douze arrondissements de la ville. MUSTAPHA abrite alors le palais d'Eté des gouverneurs d'Algérie, ainsi que la seconde École de médecine et de chirurgie d'Alger. Un décret présidentiel du 10 avril 1904 rattacha donc, de nouveau MUSTAPHA à la commune d'ALGER. En 1959, MUSTAPHA et BELCOURT constituent le 4e arrondissement de la ville d'ALGER. A l’indépendance, en 1962, le quartier pris le nom de SIDI M'HAMED en l’honneur du saint SIDI M'HAMED BOU QOBRINE enterré au cimetière qui porte son nom à BELCOURT ; mais il ne fait plus partie du territoire de la commune. MUSTAPHA inférieur et MUSTAPHA supérieur (Source : Guide JOANNE de 1905) Trams électriques partant toutes les 5 minutes de la place du Gouvernement pour MUSTAPHA-inférieur (trajet en 10 mn) ; toutes les 5 minutes également de la place du Gouvernement pour la Station Sanitaire (trajet en 15 mn) ; et toutes les 30 minutes pour la Colonne VOIROL et pour le boulevard BRU (trajet en 35 mn) : L’agglomération dite de MUSTAPHA, autrefois l’un des faubourgs d’ALGER, puis érigée en commune distincte, et maintenant à nouveau annexée à ALGER, comprend notamment les quartiers de MUSTAPHA (Inférieur et Supérieur), de l’AGHA (inférieur et supérieur), de BELCOURT et d’ISLY. Le dérasement de l’enceinte qui la séparait d’ALGER a été l’origine d’un mouvement très actif de construction, qui aura promptement pour effet de relier, sans autre solution de continuité que le Boulevard LAFERRIERE, les rues d’ALGER à celles de MUSTAPHA. ["La limite de Mustapha Supérieur, c'est à dire d'Alger, est la placette sur laquelle s'élève la petite colonne en marbre dont l'inscription rappelle qu'en 1834, le général VOIROL étant commandant en chef, la route de BIRMANDREÏS fut ouverte par les troupes d'Alger.../... Cette route de BIRMANDREÏS, d'à peine trois kilomètres, apparaîtrait comme une bien modeste réalisation si elle n'avait été le commencement de la route impériale qui mène jusqu'au TCHAD, à plus de quatre mille kilomètres." (Gabriel ESQUER). Nous sommes ici au point culminant (210 mètres) de la route ALGER-BIRMANDREÏS. Sur ce plan de la fin des années 50, les pointillés dessinent le tracé de la future rocade et du tunnel qui finiront de rendre méconnaissable ce coin du vieil ALGER]. Source : http://esmma.free.fr/mde4/images/voiro2b.jpg Les quartiers inférieurs de MUSTAPHA n’offrent en eux-mêmes aucun intérêt pour le touriste ; ils seront simplement pour lui la route du Jardin d’Essai. Il en est autrement des parties supérieures, où l’on pourra se promener sur des routes et des sentiers ombragés, bordés de villas et de jardins, et d’où l’on jouit de vues admirables sur la ville et la rade. Le mieux est de se rendre en tram du boulevard BRU ou à la colonne VOIROL et de redescendre ensuite à pied. L’AGHA tire son nom (ZEBOUDJ el Agha = les oliviers de l’Agha) de ce qu’au temps des Turcs c’était là que se rassemblaient les troupes, sous le commandement de l’Agha, avant de partir en campagne ; ce fut ensuite le camp d’ISLY. MUSTAPHA ou MUSTAPHA-Pacha doit son nom au Dey qui construisit la demeure où est actuellement installée la bibliothèque nationale, et qui avait une maison de campagne à l’emplacement où se trouvait l’orphelinat Saint-Vincent-de-Paul. Les rets et les riches Algériens, grands amateurs de jardins, avaient d’ailleurs semé dans la campagne de somptueuses maisons de plaisance, dont quelques-unes ont subsisté et que le touriste verra de MUSTAPHA supérieur. Source : http://www.chire.fr/A-178556-villas-et-palais-d-alger-du-xviii-siecle-a-nos-jours.aspx « Je vais parler d'Alger, d'un Alger disparu, ou presque, de maisons qu'on appelait mauresques. Il en reste quelques témoins, des édifices devenus insolites dans le monde de béton qui a poussé partout." À partir de documents privés jamais exploités, Marion VIDAL-Bué nous entraîne dans une promenade de mémoire à travers les palais et villas d'Alger. De la Casbah à la mythique vallée de la Mitidja, en passant par la route du sultan ou vers les coteaux de Mustapha-Supérieur, palais officiels, résidences seigneuriales, demeures de riches corsaires ou "d'hiverneurs" anglo-saxons, villas de campagne et grands domaines s'entrouvrent sous nos yeux et livrent leur histoire. Derrière les portes massives et les balcons en moucharabieh, jardins exubérants parfumés de jasmin et de fleur d'oranger, fontaines fraîches et patios lumineux, faïences multicolores et volières chantantes, vestibules sombres et dallages de marbre, escaliers profonds, terrasses et murs chaulés de blanc, expriment à chaque page la poésie d'Alger et l'empreinte de multiples héritages qui ont marqué sa mémoire. Ce fragment d'architecture méditerranéenne dévoilé constitue un témoignage précieux et émouvant. » La principale artère de l’AGHA-inférieur et de MUSTAPHA-inférieur, continuation de la rue de Constantine, est constituée par les rues Baudin et Sadi Carnot, en prolongement l’une de l’autre ; de nombreuses maisons industrielles et de plus nombreux cabarets la bordent. Les environs du quartier Mustapha, l'immeuble situé derrière la ferme est le Petit Lycée Mustapha, donnant directement sur la rue Sadi Carnot Au carrefour de l’AGHA, point de jonction de ces deux rues, se détachent : à droite, le rue Richelieu, ancienne rue de la Liberté, en rampe accentuée, par laquelle on peut monter à la rue Michelet ; à gauche, la voie, également en rampe, par laquelle on descend à la gare de l’AGHA (lignes d’Oran et de Constantine). En contrebas s’étendent de vastes terre-pleins (de 18 hectares) conquis sur la mer et bordés de quais dont le développement dépasse 1.100 mètres ; deux rampes d’accès les relient à la rue Sadi-Carnot, la première aboutissant vers le carrefour de l’AGHA, la seconde à MUSTAPHA-inférieur. La jetée de 300 mètres, qui s’enracine à l’angle Sud-est du port doit être prolongée de 500 m ; un second môle, d’une longueur de 600 m doit être amorcé à l’extrémité Sud des quais ; des jetées secondaires réduiront à 100 m la largeur de la passe entre son extrémité et celle de la grande jetée. Dès maintenant, les installations déjà effectuées permettent les opérations maritimes. Une passe pratiquée dans la jetée Sud du port établit la communication entre celui-ci et l’arrière du port. A MUSTAPHA-inférieur se trouvent : un petit lycée (nota : futur lycée Gautier), l’hôpital civil, la caserne de cavalerie, le parc à fourrages, l’usine à gaz, l’église Saint-Bonaventure, paroisse de ce quartier. A l’angle du champ de manœuvres, vaste plaine qui sert également de champ de courses et de vélodrome, et sur laquelle a été bâti le nouvel Arsenal, il y a une bifurcation. La route de gauche, la plus voisine de la mer, qui garde le nom de rue Sadi- Carnot jusqu’aux ateliers du P.L.M., puis devient la route de Constantine, traverse le quartier de l’Abattoir ; celle de droite qui est la rue de Lyon, passe par le populeux quartier de BELCOURT. Toutes les deux conduisent au Jardin d’Essai. A droite du champ de manœuvres, la rue Margueritte et le chemin BOBILLOT montent à la rue Michelet, au-delà du palais d’été. Aussi à droite, la rue de la Fontaine Bleue conduit au boulevard Bru et à MUSTAPHA-supérieur ; des chemins ombragés pour piétons (poteaux du C.A.F.), s’en détachent (à droite) La principale artère de l’AGHA-supérieur et MUSTAPHA-supérieur est la rue Michelet, continuation de la rue d’ISLY. Sur cette rue, à droite, est le palais des Ecoles Supérieures, où sont groupées les Ecoles de Droit, de Médecine, des Sciences et des Lettres (les facultés). Ces écoles, auxquelles on accède par un double escalier et une rampe, renferment des salles de cours publics et de conférences, des amphithéâtres, des laboratoires, un jardin botanique, une bibliothèque (où l’on peut obtenir l’autorisation de travailler), des collections géologiques et paléontologiques intéressantes. Derrière les Ecoles supérieures s’étend, à flanc de coteau, jusqu’au chemin des Aqueducs, le joli quartier d’ISLY. « Un édifice de 25 mètres de long sur 14 mètres de largeur, dont le bas sert de presbytère et dont la partie supérieure devient une véritable et coquette petite église". C'était en 1869, date de construction de l'église. Ici, nous sommes en 1900, ou pas loin : à l'angle de la rue Denfert- Rochereau (à gauche elle va vers le marché Clauzel) et de la rue TIRMAN (celle qui descend devant nous). Dans cette dernière, les arbres du jardin du consulat d'Espagne dépassent du mur un peu plus loin à gauche. En face d'eux se trouve la rue Laplace, et un peu plus bas à droite l'école CLAUZEL. Au coin tout à droite, on voit l'amorce d'un jardin ou d'un jardinet à la place de ce qui sera le magasin d'antiquités de Monsieur POGGI et l'immeuble du N° 11 ». Source : http://esmma4.pagesperso-orange.fr/eglesp1.htm En continuant à suivre la rue Michelet, on rencontre à droite, le boulevard Bon Accueil (futur SAINT-SAENS), qui se raccorde au chemin des Aqueducs a quelque distance du Musée des Antiquités et du palais d’été du Gouverneur. A gauche, après la rue Richelieu, rue Tirman, à l’angle de laquelle et de la rue Denfert-Rochereau se trouve l’église espagnole. A gauche aussi, la rue Bourlon conduit à la rue Denfert-Rochereau, où se trouve l‘église Saint Charles de l’AGHA ; cette église de style byzantin, a été bâtie en 1894-1896 par M. BOULIN, aux frais de mesdames TERWANGNE et WAUTERS. Le boulevard Victor Hugo (à gauche), bordé de palmiers d’une belle venue, sépare l’AGHA de MUSTAPHA ; mais les deux quartiers sont en réalité confondus aujourd’hui. Eglise Saint Charles de l’Agha Après le plateau SAULIERE (marché couvert à droite ; chemin de la Solidarité aussi à droite, qui est l’amorce du sentier direct sur EL BIAR), on arrive à la Station Sanitaire, point de départ des trams pour la place du gouvernement. De la station Sanitaire à la Colonne Voirol (6 km de la place du gouvernement), la voie centrale de MUSTAPHA-supérieur, suivie par le tram, s’élève par de nombreux lacets ; les maisons ne sont plus serrées les unes contre les autres, ce sont des villas avec des parcs. Au-delà du couvent du Sacré-Cœur (à droite), on passe devant la chapelle Ecossaise (à gauche) de style saxon. Près de la villa MUSNIER, à gauche, chemin YUSUF, qui recoupe les chemins de Gascogne et BOBILLOT, puis la rue de Fontaine-bleue et aboutit au champ de manœuvres.- Quant on a dépassé la villa du BARDO (transformé en musée), on trouve un tournant où a été érigé une croix en 1550, de là, vue admirable d’ALGER, de sa rade, du cap MATIFOU et des hauteurs montagneuses de la Kabylie aux cimes neigeuses. Avant d’arriver au palais d’Eté du Gouverneur, on rencontre, à droite, au milieu d’un jardin, le Musée des Antiquités installé en 1897, et agrandi en 1903. On a remonté dans ce jardin un dolmen provenant de la station préhistorique de BENI- MESSOUS. En quittant le Musée, on ne manquera pas d’admirer la belle vue sur la rade d’ALGER dont au jouit de la terrasse qui borde le jardin au Nord-est. Au-delà du jardin du Musée, on rencontre (à droite) le chemin du TELEMY ou chemin des Aqueducs, ainsi nommé parce qu’il suit sur certains points le tracé des conduites servant à l’adduction d’une partie des eaux qui alimentent ALGER, qui sont d’anciens travaux du temps des Turcs, restaurés et améliorés. C’est une fort jolie promenade à flanc de coteau, qui, contournant les ravins, ramène à ALGER, où l’on aboutit aux Tournants-Rovigo, après avoir longé en contre-haut le quartier d’ISLY. Ce chemin est carrossable, plan et ombragé, mais long et très sinueux ; les bicyclistes devront prendre garde à quelques tournants brusques, aggravés par l’étroitesse de la chaussée. A chaque détour, vues variées et charmantes sur la mer ; belles villas dans des jardins de végétation magnifique. Du chemin des Aqueducs partent (à gauche) deux sentiers en pente raide, l’un près de la propriété Ali CHERIF, l’autre derrière l’hôtel Continental, qui gravissent les collines et aboutissent en 20 minutes, environ ; le premier à la route de la Colonne Voirol à EL BIAR, le second à la villa Saint Raphaël et à la route d’ALGER-EL BIAR. Le musée des antiquités inauguré en 1897. C’est le plus ancien musée d’Algérie et d’Afrique. Si l’on veut rentrer à ALGER plus rapidement, on peut regagner la rue Michelet en quittant le chemin des Aqueducs, près de l’Hôtel Continental, et en prenant (à droite), soit le boulevard Bon Accueil (SAINT-SAENS) qui ramènera non loin des Ecoles supérieures, soit le chemin de la Solidarité qui conduira au plateau SAULIERE. Le palais d’Eté du Gouverneur, presque en face du Musée des Antiquités, à gauche de la route, est un ensemble de constructions mauresques modernes au milieu d’un parc ombreux, orné de plantes tropicales. Les fêtes gouvernementales y trouvent un cadre merveilleux. De chaque côté de la porte d’entrée, médiocres bustes en marbre de divers gouverneurs de l’Algérie : général LAMORICIERE, maréchal CLAUZEL, amiral de GUEYDON, maréchal BUGEAUD, général DAMREMONT, maréchal PELISSIER, maréchal RANDON, général CHANZY. En face du palais, statue en marbre blanc du maréchal MAC MAHON, gouverneur général de septembre 1865 à juillet 1870 Le palais d'Eté du gouverneur à Mustapha. Voici les détails morphologiques et historiques de ce Palais. Implanté au milieu d'un magnifique parc de 10 hectares, à 110 mètres au- dessus du niveau de la mer, sur un terrain en pente, dans le quartier appelé MUSTAPHA Supérieur, délimité par l'avenue Franklin ROOSEVELT, le chemin de GASCOGNE, débutant derrière l'église Sainte Marie au début du Bd. SAVORGNAN de BRAZZA et le Chemin YUSUF, entouré d'une enceinte d'une longueur d'environ 2 Km Les limites de la propriété, en 1830, étaient plus étendues, le terrain s'étendait jusqu'au champ de Manoeuvres, l'orphelinat Saint Vincent de Paul et la villa, qui deviendra plus tard le musée du BARDO, faisaient partie de la même propriété. Elle portait alors le nom de villa MUSTAPHA Pacha. A cette époque, la campagne Algéroise, non urbanisée, était parsemée de belles villas. Il en existe encore beaucoup, occupées, aujourd'hui, par des consulats, par des représentations étrangères ou par des musées. À gauche, le buste du Maréchal Bugeaud, à droite, celui du général Damrémont. Source : http://esmma.free.fr/mde4/palaisdete.htm Les terrains qui constituent le flanc de coteau, de la haute falaise rougeâtre, dont on aperçoit les escarpements en contre- haut de l’origine du chemin des Aqueducs, jusqu’au rivage de la baie, sont de très mauvaise tenue et ont nécessité d’importants travaux de consolidation. On passe devant une vieille tour turque. A gauche, une petite église, paroisse de MUSTAPHA-supérieur, est installée dans une maison mauresque ; l’orphelinat de Saint Vincent-de-Paul est situé en contrebas. Après avoir dépassé les hôtels Alexandra et Saint Georges (à droite), on arrive à la bifurcation du boulevard Bru (élégante fontaine édifiée, en 1888, par la colonie anglaise à la mémoire de M. John BELL). La route va toujours montant, par un grand lacet ; à gauche, chemin de l’hôtel MUSTAPHA Palace. On arrive enfin au bois de Boulogne, dont 23 hectares plantés en arbres d’essences diverses offrent d’agréables promenades ; à l’angle Sud-ouest de ce bois, vue très belle sur le ravin de BIRMANDREÏS, la plaine de la MITIDJA et l’ATLAS. La Colonne VOIROL (nom du général gouverneur intérimaire de 1833 à1834) a été élevée au point culminant de la route entre ALGER et BIRMANDREÏS (210 mètres). C’est le terminus du tram électrique. Près de la colonne et en contrebas, ALGER offre, par un ciel pur, un tableau véritablement magique.